Il y a une expression dont j’use et abuse. Je la sors en coaching, pendant mes ateliers créatifs, à mes enfants, à mes amis… On pourrait la voir comme un talisman, une véridoudou (à mi-chemin entre une vérité sérieuse et un truc doudou).
Fin du suspens : il s’agit de la notion de boussole de la joie.
Notice d’utilisation pour pratiquant débutant ? Et bien, je ne compte plus les gens de mon âge qui avaient autrefois envie de telle carrière, qui ont été empêchés par l’autorité parentale. Ils regrettent de n’avoir pas pu suivre l’aiguille de leur joie.
J’en croise d’autres hésitant dans des choix de vie actuelle, qui rationalisent pour prendre leur décisions et qui oublient de questionner leurs envies. Où va leur joie ?
Ça a l’air simple comme ça. Naïf.
Ce n’est surtout pas évident. On ne nous a pas appris à réfléchir en terme de plaisir. Si on ne connaît pas bien ses constellations, la joie est une étoile du Nord qui ne brille pas clairement.
Moi qui aime à croire que je navigue en mode expert, je galère avec ma boussole plus souvent qu’à mon tour. Mon aimant n’est pas assez puissant. A moins que ce ne soit ma volonté. J’ai ENVIE de faire ceci ou cela. Mais je ne tiens pas la longueur. Je me disperse. Je me goure de chemin. Et à la fin, qui je blâme ? Bibi.
Pourtant la liste est claire : j’aimerais manger sainement, avoir un corps qui reflète ma sportivité, parler espagnol et anglais, voir mes amies souvent, écrire des lettres toutes les semaines, dessiner, peindre, être une super entrepreneuse, une super maman, une fille attentionnée, une frangine qui fait du bien, une amoureuse extraordinaire, une humaine qui compte dans la vie des gens… La liste est claire mais elle est surtout infinie. Et puis, est-ce bien MA liste ?
Je crois qu’on bataille tous avec le petit aimant de notre boussole de la joie.
On se secoue dans tous les sens. Comment fonctionne-t-elle la boussole du kiff ? C’est une chasse au trésor ? Un bâton de sourcier ? Y a-t-il un tuto quelque part ? Une recette inratable ?
La vérité est que le COMMENT a bien moins de puissance que le POURQUOI.
Pourquoi, alors que je veux, je ne peux pas ? Pourquoi le muscle de ma volonté ne tient pas la longueur sur le marathon de mes décisions ?
Il se trouve qu’on n’évolue pas tout seul avec notre petit aimant. Tout le monde a le sien. Certains attirent, nous aident à avancer, d’autres repoussent, nous font faire des virages qu’on n’avait pas du tout prévus.
Ces contre-POUVOIRS sont infinis… On vit au milieu de gigantesques aimants. Des super mammouths méga puissants : les injonctions sociales, le capitalisme, l’image du bonheur standardisé, les diktats du corps parfait, le succès obligatoire, la productivité sans fin. Ces aimants-là, on ne les a pas choisis. Ils sont le fruit de l’histoire de l’humanité, de la domination du virilisme et de l’invisibilisation de tout le reste.
Ces gros aimants écrabouillent la force du nôtre, comme des ondes radio braillardes qu’on capte malgré nous et qui couvrent notre musique. On ne s’en rend même pas compte. On croit qu’on avance librement, qu’on décide, qu’on est la capitaine de notre navire, alors qu’en réalité, on est souvent en train de suivre un champ magnétique qu’on ne contrôle pas.
On peut mobiliser toute notre volonté, nos joies, nos résolutions… Peine perdue. On se bat contre plus fort que nous.
Alors on fait quoi ?
Déjà, on peut oublier l’idée de s’opposer frontalement. L’aimant de poche contre l’aimant géant, c’est David et Goliath. En prime, on n’est pas câblé pour se regarder objectivement. En revanche, on peut tenter de dévier la trajectoire. Un écart minuscule, répété tous les jours, a la capacité de transformer complètement la destination. Un micro-décalage quotidien, une intention ajustée, une toute petite habitude différente, et un an plus tard, on se retrouve dans des paysages qu’on n’aurait jamais imaginés.
Quelques exemples de boussole de la joie :
- Je fais tous les jours mes 5 minutes de Duolingo Espagnol. J’en suis à 256 jours d’affilé. J’ai gagné énormément en vocabulaire et j’ai moins d’angoisses à l’idée de parler.
- Je me suis remis à la course. En mai dernier, je crachais mes poumons en injuriant Patrick, mon ami qui a l’infinie patience de m’entraîner. Aujourd’hui, je suis heureuse quand je ne cours “que” 40 minutes, parce que c’est une sortie courte. La Moi de mai me foutrait des baffes. Celle de février s’épate.
- Je connaissais à peine Notion il y a un an, maintenant, je convertis tout le monde à ce système. Pareil avec Canva, Capcut, l’automatisation, les newsletters, etc… et tous les outils que j’ai su aborder doucement, difficulté après difficulté.
C’est exactement ça, l’effet du temps long. La phrase est connue (et elle aussi, je l’use beaucoup) : on surestime toujours ce qu’on peut accomplir en une journée, et on sous-estime ce qu’on peut changer en un an. On rêve de résultats immédiats, visibles, éclatants. On espère la magie. Mais la vérité, c’est que l’impact le plus profond vient souvent des gestes invisibles, accumulés, répétés. Nous ne sommes que nos habitudes, nos répétitions, physiques, mentales, spirituelles…
La magie, je l’affirmerai toute ma vie, la magie, c’est nous. Et si notre boussole de la joie ne devait servir qu’à cela ? Prendre le temps de sélectionner les mini-gestes qu’on veut répéter pour gagner en joyeuse expertise, ce n’est pas déjà gagner le pactole ?
Va, pour les habitudes Cécile. Mais comment je fais moi, quand je suis pollué.e par mes doutes, mes peurs, mes fragilités, mes traumas et toutes les phrases négatives que je m’adresse parce que les gros aimants ne cessent de me rappeler que je ne suis JAMAIS assez ? Comment je sélectionne mes véritables envies ? Comment je sais si mes croyances sont à moi ou si on me les a foutues dans le crâne à coup d’injonctions ? Comment j’apprends à me regarder de manière apaisée et bienveillante ? Quel processus de mithridatisation je mets en place ?
Réponse courte : je n’en sais rien… Je galère comme tout le monde.
Parfois, je rêve d’être capable de créer une cage de Faraday (en gros, une structure métallique qui bloque les champs électromagnétiques). Où sont les espaces où les gros aimants n’ont plus d’emprise ? Les endroits où l’on peut suivre sa propre direction sans qu’une publicité, un modèle dominant, une injonction, un héritage ou une pression sociale viennent brouiller le signal ? Quels humains on serait dans ces bulles de soi ?
J’ai la croyance qu’un cercle d’amis bienveillants peut aider, que l’éloignement des écrans aussi. Marcher, courir, pédaler, bouger, c’est pareillement une bonne façon de suivre son champ d’action. Autant que chanter, peindre, créer, danser… Tout ce qui aide à oublier le regard aimanté des autres. Où est-ce qu’on signe ?
Je parlais avec ma petite sœur de mon corps. Je brassais méchamment sur son compte, sans pitié, comme si mon bide, mes bras, mon double menton ne pouvaient pas m’entendre, comme si JE ne pouvais pas m’entendre, comme si toutes mes pensées provenaient des gros aimants toxiques. Ma frangine m’a dit : “Tu sais, on se plaint, on se plaint, mais on n’est pas grosses. Tu n’es pas grosse. Nos yeux sont totalement déformés. Nos corps vont bien.”
Mona Chollet (dans le livre Résister à la culpabilisation) parle de ces pensée pourries qu’on a sur nous, sous couvert d’être “objectif”, d’être réaliste. Moi, si tu me dis que je ne suis pas grosse, j’empoigne le gras de mon bide et je te le jette en évidence. REGARDE ! J’ai raison. Je suis trop grasse. Je suis réaliste.
Mais c’est quoi cette réalité ??? La réalité de qui ? Celle d’une humanité qui souffre de dysmorphisme corporel, créant des défauts physiques à partir de corps qui ne demandent qu’à vivre peinards. A côté de ce trouble psychologique mondial où tout le monde se perçoit de manière erronée, négative, le Covid, c’est de le gnognotte.
Nos aimants sont impuissants. Notre boussole de la joie n’a pas de haut-parleur.
Le mien l’est. Je vois le mur. Et je me plante dedans quand même.
Pourtant, ma frangine, elle m’a renvoyé de la force. Je me souviens encore de ses mots des semaines plus tard. Elle m’aimante. Alors je rêve : et si on tentait le regroupement des boussoles ? Parce qu’un petit aimant tout seul, c’est fragile, c’est inefficace. Mais plusieurs petits aimants réunis peuvent créer une force nouvelle, un champ magnétique capable de contrebalancer les influences dominantes.
Si on corrigeait le langage qu’on a sur nous autant qu’on aidait les autres à le faire. A ma Valérie qui venait de dire “je suis con des fois“, j’ai répliqué : “Hey comment tu parles de mon amie ???” Si on prête attention à ce qu’on attire, collectivement, il y a une marge de manœuvre.
Être ensemble, c’est non seulement se sentir plus fort, mais aussi avoir plus d’impact. Je le vois dans mes ateliers. Chacun arrive avec sa personnalité, son cap, ses émotions. Et à la fin de la journée, nos humanités se sont mélangées. L’inspiration a circulé, l’encouragement, la bienveillance. On ressort grandies. On a un vrai résultat de bien-être, qui est le seul résultat qui vaille.
Et cet état de joie, je crois que c’est l’un des plus grands moteurs de motivation dans la vie. Quand on ressent du succès, de la fierté parce qu’on s’est accompli individuellement ET en groupe, on a tous les courages, toutes les énergies pour avancer vers son étoile du Nord.
Ensemble c’est mieux. Passer du développement personnel ou rayonnement collectif. Surtout si on s’ingénie à s’entourer des bonnes personnes. Un entourage respectueux qui nous tire vers le haut, un environnement qui amplifie notre propre direction, des alliés qui nous aident à orienter notre boussole de la joie au lieu de la dérégler. Choisir avec qui on veut faire aimant.
Parce qu’au fond, ce n’est pas tant la puissance de notre boussole personnelle qui impacte. Ce qui compte, c’est l’intention, ce qu’on tente d’en faire. Peu importe la portée réalisée.
Notre boulot, c’est d’essayer.
En voilà un job qui a du sens.

Podcasts :
Je vous partage les écoutes qui me viennent à l’esprit, récentes ou non. L’amoureux de Maman Podcast Profil (Lien Spotify) On ne connait jamais bien les histoires d’amour de ses parents. Alors quand sa maman retrouve Antoine, un ancien amoureux, Bountou Diara, sa fille, lui tend le micro. Antoine est plus prolixe que sa mère, il raconte la jeunesse en Côte d’Ivoire, la beauté de la jeunesse, les retrouvailles, la sensualité de leurs peaux actuelles… C’est joli d’écouter ce monsieur parler de sa bien-aimée. Geoffroy de Lagasnerie, ministre de l’intérieur Podcast Meurice recrute Geoffroy de Lagasnerie est un philosophe et sociologue français, nouvelle figure de la “gauche radicale”, agrégé de sciences économiques et sociales. Il est réputé pour ses prises de positions sans concession et j’aime beaucoup l’écouter sur Insta, parce que ça m’ouvre des horizons. Je me suis dit que je pouvais peut-être creuser davantage en cherchant des podcasts où il intervenait. Et hop, je vous propose celui-ci, où Geoffroy propose des idées inédites d’actions à mettre en place, si d’aventure, il devenait ministre de l’intérieur… Écrire son premier livre, avec Lauriane du marathon des langues Podcast The bboost J’ai écouté cet épisode il y a longtemps et je me souviens bien de l’apparente décontraction de Lauriane, qui racontait comment elle s’était organisée pour écrire un livre. Ça m’avait étonnée, pas dans le sens négatif, au contraire. Et ça me faisait songer à ce que disait Baptiste Beaulieu dans un autre podcast, qu’en France, on sacralisait l’écriture. Il fallait noircir des pages dans la douleur. Ben pas forcément. Il y a des tas de chemins de joie, des chemins d’aisance, de facilité et de fluidité. Alors si vous avez envie de gens qui vous encouragent et vous montrent qu’écrire un livre est à votre portée, voici un épisode. |
Lectures
Allez, on enchaîne avec les lectures ! Essai, roman, BD… Je parle de tout ce qui me plaît.
Résister à la culpabilisation de Mona Chollet
Je suis tellement amoureuse de cette meuf. J’ai lu tous ses livres, et à chaque fois, c’est une grosse claque. Si vous ne deviez lire qu’un seul de ses essais, c’est celui-ci que je vous conseille, car c’est sans doute lui qui vous fera le plus grand bien. Résister à la culpabilisation, vaste programme pour nous les femmes non ? Reconnaitre la petite voix qui ne nous raconte que des carabistouilles, les injonctions, le poids de toute l’histoire sur nos épaules… Son livre est amusant, instructif, libérateur. Bref, GROS coup de cœur !
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Les jardins Invisibles d’Alfred
Voilà un mini-livre, au croisement de la BD, du journal intime et du carnet de voyage, qui m’a totalement embarquée. Si on veut foncer, on peut avaler la lecture en 15 minutes, mais je gage qu’une relecture prolongera le plaisir et l’intention. Alfred est un presque cinquantenaire qui a pris l’habitude de dessiner les moments importants de sa vie. Il nous partage quelques épisodes, quelques réflexions, beaucoup d’émotions. Le processus créatif est génial. On referme avec un peu de mélancolie et plein de poésie.
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La cadette de mes soucis, de Marjolaine Solaro
C’est le troisième roman de ma coupine Marjolaine, c’est dingue non ? Je les ai lus les trois et c’est chouette de reconnaitre sa patte, son style littéraire efficace et fluide. Cette fois-ci, Marjo a puisé dans son histoire personnelle, (même si c’est romancé). Ça parle de reproduction générationnelle, de secret, de santé de femmes, de naissance symbolique et d’amour… J’ai bien pleuré à la fin.
Un livre qui se déguste comme un pot de glace sous un plaid en hiver. –> Sur Amazon, à la Fnac, chez les Libraires


Cadavre exquis poétique Le jour de la Saint Valentin, j’ai ouvert un livre qu’on m’a offert à Noël : “Je serai le feu” de Diglee, une autrice et illustrative que j’aime bien. Dedans, elle a rassemblé des poèmes de femmes, des vers de poétesses méconnues, oubliées. J’ai pris mon téléphone, et à chaque fois que j’aimais bien une phrase, une expression, je l’ai notée. J’y ai passé ma soirée. Ensuite, j’ai demandé à ChatGPT de me composer un poème à l’aide de tous ces jolis morceaux, sans rien rajouter du tout. Que du collage. Comme je n’ai pas su obtenir un truc sympa de lui, je m’y suis attelée et voici le résultat, un poème, mi-étrange, mi-ça le fait : C’est la naissance de ma vie, Car mon amour vient aujourd’hui.¹ Je m’ignorais encore, je n’avais pas aimé,² J’ai senti que je gonflerai ma vie pour caresser son corps au poil épais.³Le cœur tremblant, la joue en feu,? Avant que la mousse n’ait atteint nos lèvres,? Nous sommes à nous deux, toute l’immensité,? Mon ami d’amour, je suis entre tes bras.? Mon désir suivra tes pentes,? Cette course à la joie,? Son champ de jouissance et son jardin d’extase.¹? La nuit, secrètement, Je prends la lune dans ma bouche,¹² Je connais les rythmes de celle qui me délivre et m’ensorcelle En respirant pour mon plaisir.¹³Mon corps ardent frissonne et tremble de désir.¹? Les mots sont partis depuis longtemps, On a réglé son compte au silence.¹? Moi sans fin, je hurle au mystère :¹? Je vous aime, mes yeux qui restiez éblouis !¹? J’emmagasine des nuits contre toi,¹? Je ne sais pas de quoi je suis la proie, Je ne sais pas de quoi je suis l’amour.²¹ Je l’ai vu dans tes yeux cet invincible amour Dont le premier regard trouble, saisit, enflamme.²² Je ne crains pas Satan, Car Satan rêve de moi.²? Je t’aime d’un amour qui fait sortir les gens sérieux,²? Toi qui te moques bien des planètes fameuses Et envoies au ciel ton rire étincelant.²? Vois-tu, chaque jour je t’aime davantage, Aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain.²? Sources : 1-2. Emily Dickinson 3. Lise Deharme 4. Cécile Sauvage 5. Emily Dickinson 6-7. Rosemonde Gérard 8-9. Natalie Clifford Barney 10. Marie Nizet 12. Anise Koltz 13. Angèle Vannier 14. Valentine de Saint-Point 16. Claude de Burine 17. Catherine Pozzi 18. Marie Nizet 19. Mina Loy 21. Catherine Pozzi 22. Marceline Desbordes-Valmore 24. Joumana Haddad 25. Lise Deharme 26. Vita Sackville-West 28. Rosemonde Gérard |
Dessin de maman C., une amie très chère a perdu sa maman la semaine dernière. Il n’y a rien qu’on puisse faire dans ces circonstances. Les bisous ne sont plus magiques. Les mots sonnent creux. Et pourtant, cruels seraient les silences, l’absence de présence. Mais que faire ? Que dire ? J’avais envie d’être là, tout en me sachant inutile. Le lendemain, je croisais AM, une autre amie, dont la maman était morte quelques mois auparavant et qui la pleurait encore en l’évoquant. Je lui ai demandé ce qui l’avait aidé à l’époque, ce qui l’aidait encore. Elle se souvenait que certaines personnes étaient parvenues à écrire des choses qui lui avaient fait du bien mais elle ne savait plus identifier ces choses en question. Juste la sensation. La piste du “que dire” était maigre. Mon cerveau m’a proposé une autre approche, un autre langage. J’ai dessiné. J’avais cette photo de la maman de mon amie, entourée de ses enfants. Je les ai reproduits comme je pouvais. Et j’ai envoyé mon dessin. J’ai écrit tout simplement que j’étais là et que je pensais à elle. Je crois que ça a fonctionné. Oh, toujours pas de magie. Mais une caresse lointaine. Un lien maintenu. J’ai recontacté AM dans la foulée pour lui expliquer mon geste et pour proposer de lui dessiner aussi sa maman. Elle a accepté illico et maintenant, je vais m’atteler à caresser ce lien-là. Si vous avez des conseils pour aider mes amies, je vous serai reconnaissante si vous acceptez de me les partager. Merci d’avance. |
Ouverture des ateliers créatifs mystères 2025 J’ai pris un temps fou à sortir de mon chapeau les 6 dates pour mes journées d’atelier mystère, mais ayé, elles sont en ligne, bien placées. Vous pouvez donc venir muscler votre créativité chez moi, à Orly, les jours suivants : – Samedi 28 juin 2025 – Samedi 13 septembre 2025 – Samedi 25 octobre 2025 – Samedi 6 décembre 2025 Pour ceux qui ne savent pas en quoi consistent ces mystérieuses journées, voyez-les comme le cadeau que vous faites à votre santé mentale. Vous arrivez vers 9h30, avec votre petit frichti et votre envie de prendre du temps pour vous. Le programme ? C’est comme le menu Découverte au restaurant de l’imagination, vous ne le connaissez pas. Vous allez vous laisser guider par des tas d’influences : des propositions, mes placards qui regorgent de trésors, une promenade sur Pinterest, une suggestion de votre cerveau… Et vous pourrez la suivre, cette fameuse boussole de la joie. Pendant toute la journée, vous allez vous aventurer dans des chemins créatifs qui vont vous sortir de vos pensées. Là est le vrai repos, quand le FAIRE nous fait TAIRE. Alors, tu viens , |
Décrypto Je ne sais pas si les plus fidèles d’entre vous l’ont remarqué mais j’essaye de vous faire partager les jeux de société sympas auxquels on joue à la maison. Enfin, pour être précise, les jeux auxquels JE joue. Parce que ma grand fille est une passionnée du genre. Elle connaît tout ce qui se fait dans le domaine, est très regardante sur la qualité des coffrets et des mécaniques ludiques. Elle est capable de te dégainer 5 boites et faire des yeux de Chat Potté pour te supplier de participer. Et moi, souvent… j’esquive ! Et puis parfois, j’accepte, parce qu’elle a su me convaincre ou que je suis dispo. Le jeu Décrypto se joue minimum à 4, on doit collaborer avec un coéquipier. L’objectif ? Découvrir les mots cachés de chaque équipe, en proposant des mots façon Pyramide (le jeu TV). C’est sympa, assez rythmé, et si vous êtes avec mes enfants et/ou mon mari, vous pouvez être sûr qu’il y ait de l’ambiance. Bref, un jeu sympa, simple ET rapide à utiliser. |
Il y a quelques temps sur Ciloubidouille Je pioche dans les 3000 articles de mon blog pour vous ressortir deux publications qui pourraient vous plaire ! Récentes ou non :). |
Je suis partie marcher seule une semaine en Ile-de-France. J’ai pris le temps de vous raconter cette micro-aventure, le temps d’un article. J’y parle de la peur d’être une femme en pleine forêt, d’y croiser des chiens, de se perdre et de se retrouver. Lire l’article |
Si le sujet de voyager seule quand on est une femme vous intéresse, il y a également cet article qui retrace mon premier périple, en vélo cette fois. Je sais qu’il a inspiré des tas de lectrices, qui ont suivi les traces de mes roues. Même que ça fait drôlement plaisir.
Et voilà.. C’est la 18ème Ciloubinews. Pour le moment, je tiens le rythme. Mieux, je retrouve de la joie, de l’envie… Je note mes idées, je suis impatiente d’avoir vos avis. Il faut dire que vos réactions suite à mes deux dernières CiloubiNews ont été exceptionnelles ! Encore merci, j’ai tout lu, avec gourmandise ! ??? Si tu aimes cette newsletter et si tu veux la soutenir, tu peux le faire de 3 façons : Me répondre et me dire tout ce qu’elle t’inspire. C’est très encourageant. La transférer à une personne de ton entourage qui peut être intéressée. La meilleure des viralités. Me faire part de tes propres recommandations de podcasts, lectures, réflexions pour que ça me nourrisse ! Alors ça, j’adore ! ??? |
Je suis Cécile, slasheuse créative. J’alimente gracieusement ce blog depuis 2006. Vous pouvez aussi me suivre sur Instagram, Youtube ou Pinterest.
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